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dc.contributor.authorBakelana, Z.
dc.contributor.authorLegg, J.P.
dc.contributor.authorLema, K.M.
dc.contributor.authorHauser, S.
dc.contributor.authorMahungu, N.M.
dc.date.accessioned2019-12-04T11:24:57Z
dc.date.available2019-12-04T11:24:57Z
dc.date.issued2012-02
dc.identifier.citationBajelana, Z., Legg, J., Lema, K.M., Hauser, S. & Mahungu, N. (2012). Les facteurs determinant labondance du vecteur mouche blanche (Bemisia tabaci, Homoptera : Aleyrodidae) et les types des virus distribues sur le manioc en R.D. Congo. In Proceedings of the 11th triennial Symposium of the ISTRC-AB held at Memling Hotel: Tropical roots and tuber crops and the challenges of globalization and climate changes, 4-8 October, Kinshasa: Democratic Republic of Congo. (p. 386-398).
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12478/4496
dc.description.abstractLa mouche blanche (Bemisia tabaci) est le vecteur de la mosaïque et de la striure brune du manioc. Sa population a toujours été faible dans les champs de manioc. En plus, cet insecte trés polyphage, n'avait jamais constitué d'une manière directe, une menace réelle à la culture du manioc en Afrique. Depuis quelques années, cependant, on constate une pullulation de la mouche blanche sur le manioc. En plus du rôle lui réconnu comme vecteur des virus responsables de la CMD et de la CBSD, la mouche blanche est devenue un véritable ravageur de la culture de manioc, en induisant des dégâts bien spécifiques sur les jeunes feuilles apicales et l'apparition de la fumagine sur les vieilles feuilles. Plusieurs facteurs ont été évoqués être impliquées dans la pullulation des populations de la mouche blanche en Afrique de l'Est, à savoir l'apparition du recombinant EACMV-Ug, qui augmente la fécondité des mouches blanches qui se nourrissent sur les plantes malades et l'apparition en Ouganda d'un nouveau biotype des mouches blanches plus fécond que l'espèce autochtone. Il a été confirmé la susceptibilité génétique de certaines variétés de manioc à héberger des populations élevées de la mouche blanche. Les pics des populations les plus élevés ont été enregistrés à Mvuazi et Mulungu, respectivement en mai 2008 (21,91 mouches par plante) et juillet 2008 (35,31 mouches par plante). Le site de Mvuazi a présenté le nombre de cas d'infections mixtes ACMV et EACMV le plus élevé (31,4%), comparativement aux sites de Gimbi (3,2%), Luki (7,6%) et Mulungu (15%), augmentant par consequent la sévérité et l'incidence de la CMD sur les variétés sensibles de manioc à Mvuazi. La striure brune a été rencontrée dans tous les sites et sur toutes les variétés en place, à raison de 10% d'incidence en moyenne. La sévérité variant entre les côtes 2 et 3.
dc.description.sponsorshipEuropean Union
dc.description.sponsorshipFood and Agriculture Organization of the United Nations
dc.language.isofr
dc.subjectCassava
dc.subjectPlant Diseases
dc.subjectProduction
dc.subjectDemocratique Republic Of Congo
dc.titleLes facteurs determinant labondance du vecteur mouche blanche (Bemisia tabaci, Homoptera : Aleyrodidae) et les types des virus distribues sur le manioc en R.D. Congo
dc.typeConference Paper
dc.description.versionPeer Review
cg.contributor.crpRoots, Tubers and Bananas
cg.contributor.affiliationNational Institute for Agronomic Studies and Research, Congo, DR
cg.contributor.affiliationInternational Institute of Tropical Agriculture
cg.contributor.affiliationUniversity of Greenwich
cg.contributor.affiliationUniversité de Kinshasa
cg.coverage.regionAfrica
cg.coverage.regionCentral Africa
cg.coverage.countryCongo, Dr
cg.authorship.typesCGIAR and developing country institute
cg.iitasubjectCassava
cg.accessibilitystatusLimited Access
local.dspaceid100746


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