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Participation in and gains from traditional vegetable value chains: a gendered analysis of perceptions of labour, income and expenditure in producers' and traders' households
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Date
2020-02-26Author
Fischer, G.
Patt, N.
Ochieng, J.
Mvungi, H.
Type
Review Status
Peer ReviewTarget Audience
Scientists
Metadata
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Horticulture is one of the fastest growing subsectors of agriculture in Tanzania. Gender relations in vegetable-producing and vegetable-trading households need to be understood to make value chain development equitable. This study, carried out in northern and central Tanzania, is based on data from surveys, focus group discussions and semi-structured interviews. The perceptions of men and women traders and producers are investigated with regard to labour participation in traditional vegetable value chains and gains (income and expenditure) from it. Farmers were found to report more balanced intra-household labour arrangements paired with less-balanced income and expenditure shares, while traders indicated less-balanced labour contributions that went hand in hand with more-balanced shares of benefits. Farmers related limited household development not only to imbalances in benefits but also to a lack of trust and cooperation between spouses. The importance of gender-transformative approaches in agricultural value chains is emphasized herein.
Résumé
L’horticulture est l’une des branches de l’agriculture dont la croissance est la plus rapide en Tanzanie. Les relations entre les femmes et les hommes dans les ménages producteurs et commerçants de légumes doivent être comprises pour que le développement de la chaîne de valeur soit équitable. Cette étude, réalisée dans le nord et le centre de la Tanzanie, est basée sur des données d’enquêtes, de discussions de groupe (focus groupe) et d’entretiens semi-directifs. Elle examine les perceptions des commerçants et des producteurs hommes et femmes quant à la participation de la main-d’œuvre aux chaînes de valeur traditionnelles des légumes et les gains (revenus et dépenses) qui en découlent. L’on a constaté que les agriculteurs ont signalé une répartition du travail plus équilibrée au sein des ménages, associée à une répartition des revenus et des dépenses moins équilibrée. Au contraire, les commerçants ont indiqué une répartition du travail moins équilibrée et cela allait de pair avec une répartition plus équilibrée des benefices au sein des ménages. Les agriculteurs ont fait un lien entre le développement limité des ménages et le déséquilibre dans la répartition des bénéfices, mais également avec le manque de confiance et de coopération entre les conjoints. Nous soulignons l’importance des approches transformatrices de genre dans les chaînes de valeur agricoles.
https://dx.doi.org/10.1057/s41287-020-00257-0
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https://hdl.handle.net/20.500.12478/6933IITA Authors ORCID
Gundula Fischerhttps://orcid.org/0000-0002-7658-786X
Digital Object Identifier (DOI)
https://dx.doi.org/10.1057/s41287-020-00257-0