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dc.contributor.authorVayssieres, J.
dc.contributor.authorCherasse, S.
dc.contributor.authorPage, N.
dc.contributor.authorLaplace, D.
dc.contributor.authorBeauchene, J.
dc.contributor.authorGourmel, C.
dc.contributor.authorDenis, S.
dc.contributor.authorPinault, D.
dc.contributor.authorRhino, B.
dc.contributor.authorBertrand, M.
dc.contributor.authorGermain, J.
dc.contributor.authorGoergen, G.
dc.contributor.authorLe Bellec, F.
dc.date.accessioned2023-02-08T13:08:55Z
dc.date.available2023-02-08T13:08:55Z
dc.date.issued2022-09
dc.identifier.citationVayssières, J. F., Cherasse, S., Page, N., Laplace, D., Beauchêne, J., Gourmel, C., ... & Le Bellec, F. (2022). Une opération de lutte biologique en Guyane. Phytoma, (756), 28-33.
dc.identifier.issn1131-8988
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12478/8044
dc.description.abstractContexte - En septembre 2014, l’espèce invasive, Rastrococcus invadens Williams (Hemiptera : Pseudococcidae) a été détectée à Cayenne (Guyane), puis rapidement identifiée par le LSV-Anses. C’est le premier signalement de la cochenille sur le continent sud-américain. À la demande du ministère de l’Agriculture, une mission a été réalisée par le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) fin 2016 afin de définir la gamme des plantes-hôtes de R. invadens, l’importance des dégâts au niveau des plantes cultivées et d’actualiser la distribution du bioagresseur dans le département.  Etude - En 2019, un programme de lutte biologique a débuté par la création, à Kourou, d’un laboratoire d’entomologie permettant le confinement de macro-organismes auxiliaires non indigènes. En janvier 2021, des micro-hyménoptères parasitoïdes, Gyranusoidea tebygi Noyes et Anagyrus mangicola Noyes (Hymenoptera Encyrtidae), ont été importés à partir de la station d’International Institute of Tropical Agriculture (Iita), située au Bénin, et installés dans le laboratoire de Kourou afin de les multiplier, de confirmer leur spécificité visà- vis de R. invadens puis de les lâcher.  Résultats - Les élevages de parasitoïdes auxiliaires n’ont pas pu se développer durablement et les deux souches d’Encyrtidae se sont éteintes en juin 2021 dans le laboratoire de Kourou. Plusieurs raisons peuvent en être la cause et sont discutées dans cet article. D’autres voies pour soutenir la lutte biologique contre ce ravageur d’importance seront également étudiées afin d’offrir des perspectives aux producteurs, notamment aux agrumiculteurs particulièrement touchés, et depuis peu, sous une autre menace phytosanitaire, le Huanglongbing.
dc.format.extent28-33
dc.language.isofr
dc.subjectGuyane
dc.subjectRastrococcus Invadens
dc.subjectParasitoids
dc.subjectGyranusoidea Tebygi
dc.titleUne operation de lutte biologique en Guyane
dc.typeJournal Article
cg.contributor.affiliationCentre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement
cg.contributor.affiliationDEAA F - Cayenne
cg.contributor.affiliationChambre d’Agriculture - Macouria
cg.contributor.affiliationInternational Institute of Tropical Agriculture
cg.coverage.regionACP
cg.coverage.regionSouth America
cg.coverage.countryGuyana
cg.coverage.hubHeadquarters and Western Africa Hub
cg.researchthemePlant Production and Health
cg.identifier.googleurlhttps://agritrop.cirad.fr/601789/
cg.identifier.bibtexciteidVAYSSIERES:2022a
cg.authorship.typesCGIAR and advanced research institute
cg.iitasubjectAgronomy
cg.iitasubjectDisease Control
cg.iitasubjectFood Security
cg.iitasubjectPlant Breeding
cg.iitasubjectPlant Diseases
cg.iitasubjectPlant Health
cg.iitasubjectPlant Production
cg.journalPhytoma
cg.accessibilitystatusLimited Access
cg.reviewstatusPeer Review
cg.usagerightslicenseCopyrighted; all rights reserved
cg.targetaudienceScientists
cg.iitaauthor.identifierGeorg Goergen: 0000-0003-4496-0495
cg.futureupdate.requiredNo
cg.identifier.issue756


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